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  • Photo du rédacteurLydie

La paix du gris

Sans la lumière, cette fenêtre est inutile.

Sans la passion mon Bonheur est-il futile?


Je fonds sur le cuir d'un fauteuil bien trop moelleux.

Je suis sous l'emprise d'une paresse au corps graisseux.


Nuage mou et morne, géôlier de mon cœur.

Qui danse dans ma tête m'apportant l'oubli de l'ardeur.


C'est dans un instant de calme.

Que je songe a la paix du gris.

C'est en laissant la colère et les larmes,

que mon histoire s’agrandit, crée la vie.


Je parle aux ciel lui lançant mon cœur qui s'endort.

Je crie dans un souffle; toi mollesse, quitte mon corps.


Ce jour petit, froid, fait ce qu'il peut au combat.

Se battre, se lever, sourire vrai et être bien là.


C'est dans un instant de calme.

Que je songe a la paix du gris.

C'est en laissant la colère et les larmes,

que mon histoire s’agrandit, crée la vie.



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